
DE LÀ PLANCHE
Tréteaux montés
La place du village trouve à dérider son visage
Il lui manquait un bon sommeil pour ouvrir ses yeux à la suite du tableau
Prise par les hanches ta rondeur soulève les parties osseuses pour en polir les points saillants
A l’eau qui demeure je tends la totalité de mon dos afin de faire la planche qui nage sans être clouée par la peur
A la fourche de l’aine le chemin creusait l’axe a suivre.
Niala-Loisobleu.
28 Décembre 22023
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