La vérité du drame est dans ce pur espace qui règne entre la stance heureuse et l'abîme qu'elle côtoie : cet inapaisement total, ou cette ambiguïté suprême. Saint-john Perse
Le bouleversement qui s’affirme comme l’été que Juin met en scène, me lâche pas les baskets dans un jeu vicelard ayant une préférence marquée pour les coups tordus à la sauce sournoise sur le thème « clôture de ». Au point d’en appeler à mon tour au médecin, qui me dit: surtout ne rien jeter de ce que vous êtes…
Fils de la terre et moins que rien, je regarde mes ongles et ne vois rien qui dedans proviendrait d’une toile grattée comme une grosse commission indispensable
Il y a du chantage qui rôde autour de l’anémone
Alors corne Muse mon gars
Tire la ficelle que la marionnette danse et fasse sortir la fleur de ce qu’on plante
Sans écrire tes mots-peints tu te portes volontaire pour la défenestration, bien sûr que pour toi c’est morbibe actuellement, mais
L’été c’est pas qu’une saison, c’est surtout le contenu de tout une vie où ce qu’on est ressemble à ce qu’on a eu dans les tripes pour le transit personnel
Du vent qui pousse à l’orage du brûlant de son climat
penser que la porte du fond qui ouvre sur la mer
n’a pas été au chavirage d’une brasse coulée
Hâler au CHU de Haut-Lévêque faire sentir la fragrance de son désir ne doit que conduire à guérir cet assemblage du pouvoir thoracique de respirer en nageant plus loin en corps.
Cette joie qui ouvre grand la bouche pour répondre favorablement à l’invitation du facteur, rend le respirable dans son essence au bout d’un si long temps d’attente
Même si ce n’est que l’annonce du bruit du mouvement des pédales, qui le 6 du mois conduira de Cognac à Bordeaux pour savoir, un bleu tient l’enclos sur la ligne
on pense à l’herbe étouffée sous le poids du rouleau qui relève la tête
tournée vers la pleine lune des fraises en sagittaire comme un fruit régénéré d’optimisme.
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