
LE TRONC DU PAUMIER
Du compas où se trace ce parfum rond comme un premier verger, les prés verts faufilent à mots ouverts
Paroles qui rougaillent comme Jacques a dit ses Portraits
Clochardes à la peau fripée par le soleil d’une annonce automnale conduisant son veau à l’école des trains. pour se musculer l’imaginaire d’un ô riant express qui serpenterait en rivière non venimeuse
Des enfants gardiens de vaches à court d’école, la mer plus proche du château d’eau que de la javellisation domestique intellectuelle
Cache-cache
Tu contes jusqu’à sans et je sors du compte de faits label au bois-dormant
Porteur d’ô
Loin du raille d’Ouessant , à la rame de pois-de-senteur, s’intégrant dans un marathon de marguerites venues avant le dernier coup de cidre crêpe de chine
Courbes du tronc prises à demains, merci Georges.
Niala-Loisobleu – 13 Avril 2022
jusqu’à sang?
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Oui et m’aime après la mène aux poses….
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