La vérité du drame est dans ce pur espace qui règne entre la stance heureuse et l'abîme qu'elle côtoie : cet inapaisement total, ou cette ambiguïté suprême. Saint-john Perse
Nos armes et nos liens ont jailli de la môme souche, à présent calcinée, éparpillée dans le ciel froid.
D’autres (leurs ont failli me perdre, d’autres talons d’argent me piétiner. J’ai repoussé cette aube anticipée du jour qui ne doit qu’à la nuit son accompagnement de flûtes et de nuées, son trouble, sa félicité…
Tellement j’ai tremblé que tu ne trembles plus, ma flamme à la proue, très bas, éclairant les filets.
Les astres sont anciens mais la nuit est nouvelle. 0 sa tyrannie d’enfant d’autrefois, son joug de rosée.
A travers le siège de l’ennemi, dans ce coin du coeur où le chat saute comme la flûte du joueur
la Méditerranée garde son bleu en façade plus blanche que l’ambition déplacée d’un tsar sorti des limites
Dans les virages en corniche d’Alicante, à cheval andalou me voici retourné en escale à l’endroit qui me reçu la toute première fois en Espagne
Les palmes du ventilateur brassant le plafond pour en retrouver l’azur authentique philtré de tourisme
Le Gardien de la Vie, son office rempli, me migre du marais à la palmeraie au Centre de la Sphère, assez de signes probatoires dans les réductions du passage pour élargir la confiance en toute sécurité
Les nuits de Bénidorm et leurs leurs artifices dans la veine laissés sur les serviettes d’une plage de micro sillon pour une racine au plus profond d’une terre rouge sans crime rapporté dans le patio, vin dans la main, fontaine prélude rossignol, juste à côté en Altea
Ces ondes qui couchent la bêtise, le mensonge, la haine; les tromperies et tous les crimes
sont fortes à lever la paix révélatrice de l’ESPRIT, rien à voir avec les accords menteurs d’hommes qui après s’être reniés flottent dans leur marécage…
Un Printemps se montre plus près pour l’étreinte, Ami AW Chat Sauteur
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