
LES JARRETELLES DE LA CÔTE SAUVAGE
Passé les rayures des premiers maillots
le mouvement des dunes découvre de quoi Coubre le vent par morceau mis à découvert
Balises rouges d’un quartier corporatif de Pékin
les soldats ont lâché leurs chevaux hors du sable
pour que la grande mue raille la pudibonderie naturiste
Le peignoir fait tertre à la place des croûtes de rapins en attendant que les pins reviennent à la térébenthine dans les peaux
A que gemme…
Niala-Loisobleu – 3 Mai 2021
Ce poème est comme l’un de tes tableaux où les images et les couleurs se fondent par assonance et créent un rythme musical et pictural qui charme.
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Je ne sais plus quand je peins et quand je m’arrête pour commencer à écrire, Marcello, ce que tu viens de dire résume précisément cet état. Et je le prends comme un compliment tout à fait idoine. Ce double rythme qui se fond en un seul m’est indispensable. Ma formation de peintre venant combler ma totale méconnaissance de l’écriture…
Merci beaucoup c’est merveilleux, Marcello.
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Magnifique !
Mes pieds sableux
De temps à autre foulent
Les sentiers de la Coubre.
Et parfois mon corps
S’en va
Suivre l’onde vague
Gréée de houle…
Clémence
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Que tu pointes espagnole ou de Ronce mises à l’air
Art vert
Atlantique te donne à jouir du soleil
Clémence assurée
N-L
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