
L’EFFACEMENT
Ton visage redevient chat ; tout se décompose et remonte le millénaire.
Tes dents se lèvent comme aube boréale, et ta face un grand décor originel.
De si près — indéchiffrable autant que l’ensemble, un étrange moment durant, évanouie la tardive beauté.
Lionne à crinière de saule, lionne
La vie se dissipe.
Nus sous le grand igloo
Michel Deguy
Ah j aurais une préférence pour cet effacement là…
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Emoi itou…
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oh, on dirait un texte pour mon délire photographique récent (« chatte »)
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