
DANS L’ASCENSEUR
Du matin au coude à coude en commun, je lève les yeux sur ce qui est en corps libre d’accès et de notre intérieur pars en long voyage
Il y aura ceux qui appuieront sur l’étage de la bonne aventure, d’autres iront au bricolage voir si la clef des songes est en rayon
Liberté conditionnelle
couvre-feu à 18h
Le cheval se sent retenu devant la réduction du tant de vivre
L’herbe du chant informatique est flatteuse pour l’oeil mais bien plus fade au masticage. Même pour le repas du Dimanche autour de la grande table
En me levant j’ai entendu frapper à l’intérieur de tes pensées
Soulevant la calotte cranienne, les oiseaux sont sortis bavards comme des gosses au couloir de l’heure de la récréation
Du rire qui monte et descend comme l’eau qui a fait un trou dans le barrage et va rejoindre la mer pour s’asperger de sel.
Niala-Loisobleu – 17 Janvier 2021
Un coeur vrai sous une peau conforme couve son feu…Liberté inconditionnelle.
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Pore à pore ah et son co lié de fleurs…
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La liberté ne peut -être (comme la mort par exemple) qu’absolue. La condition ne s’entend que pour le droit et le devoir (nécessaire ou pas…)
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Toutefois, j’exclus la mort de l’absolu au sens où lui trouvant un illimité quantifiable c’est le contraire du néant de la mort…
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