
MEDITATION D’ODILON
Je cours aux lins pour tendre la couleur
encore à la vague
Sur une lumière sortie de la corbeille des ombres chinoisent dans l’arrière-cour
Le geai s’étale à grande eau pour garder du soleil envers et contre tout
d’un clin d’oeil complice en lâchant les chevaux du manège pour que tourne le rire de l’enfant assis sur l’oiseau.
Niala-Loisobleu – 8 Janvier 2021
la vraie vie
celle que tu peins
celle que je n’ai de cesse d’écrire
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