
L’AIR INDUSTRIEL
Les uns penchés en arrière à tirer les autres en avant au jeu à l’accorde sur le trottoir d’une société plus anonyme que jamais
Que devient le genre initial dans ce mariage pour tous ?
La souris verte et l’Adam de lait ça parle plus que dans un livre luttant avec les jouets contre la toile d’araignée d’un grenier interdit d’accès
Pourtant, malgré l’usure mon cheval de bois s’en va-t’au chant avant de rentrer par l’abreuvoir sur sa bascule non-électronique. Comme le thermomètre à l’ancienne, l’oeilleton non-judaîque, l’araire de Marseillaise et son microsillon, ce doigt qui trace sans venger la première caricature de vie qui passe. Me souviens de Germaine, on avait pas l’eau courante dans ma chambre d’étudiant, ça n’a jamais retenu nos corps à quai
Faut pas qu’au bout de la dernière feuille l’interdit se gonfle comme le boeuf de la fable
Si j’ai mis l’Autan-Occitan en vitrine, c’est pas innocent. Il faut rouvrir le bon sens en première intention et fermer l’air industriel qui devait marcher sous la bannière étoilée. Mon cul Bruno, fait déjà payer sa dette à l’english.
Moi je me suis pas battu comme un enragé contre tous les interdits- fondamentaux pour m’arrêter de peindre de mon vivant
A la tranchée ils sont trop à avoir monté à l’assaut pour que vous restiez vautrés dans votre aisance en nous balançant que du discours.
Niala-Loisobleu – 20 Novembre 2020
La peau lissée de l’amour contre l’état policier….
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Que l’amande comme l’ô live se gardent du pare-brise…
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