
UN CHEMIN, DEUX HÂLAGES
Les planches courbes d’Yves étaient une foi
sacré nom d’un pieux
le peuplier marche au pas cadencé de la valse à mille temps d’Arlequin de chaque côté du rideau de scène sur le Grand Canal
Grand-Place mise en lévitation
Carnaval peut
mêler les corps en d’orgiaques sarabandes derrière les lourds rideaux damasquinés des marches des palais en pas de deux
Quand l’écluse montre son passage obligé , le gué savoir ne ricane pas bêtement dans son ignorance, Maîtresse manoeuvre les grandes pelles au levier
Flancs l’un contre l’autre un couple de grands chevaux, elle alezan, – lui queue-de-mer, jaillit d’une volée d’embruns comme sortis du roc granitique où le feu qui tient au coeur du muscle éclaire
L’éclair central de leurs regards braqué en constellation fruitière sur le Jardin d’Absolu.
Niala-Loisobleu – 14 Novembre 2020
souffle indissécable d’une pulsation
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A laine canine et reins équins…
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Quelle ivresse !
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