
D’UN CÔTE ET EN ALLANT PLUS LOIN
Les pas ne se comptent plus , ils avancent, des champs à n’en plus finir
la mer enfin entre deux doigts
C’était un fardeau empli de pierres, lourd comme une incompréhension congénitale
le cheval a dit j’irai mais seulement quand l’oiseau s’accouplera au caniveau
Vînt alors la quatrième main en orée, l’eau s’est mise à moudre, on a ôté les pierres pour remplir un grenier de sel.
Niala-Loisobleu – 1er Novembre 202
les matins de ce monde allaient passer aux corps
les sèves enfouies déborder des caniveaux
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Le soir passé, l’après-midi put tremper son siège…
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