D’UN CÔTE ET EN ALLANT PLUS LOIN


Georg Baselitz

D’UN CÔTE ET EN ALLANT PLUS LOIN

Les pas ne se comptent plus , ils avancent, des champs à n’en plus finir

la mer enfin entre deux doigts

C’était un fardeau empli de pierres, lourd comme une incompréhension congénitale

le cheval a dit j’irai mais seulement quand l’oiseau s’accouplera au caniveau

Vînt alors la quatrième main en orée, l’eau s’est mise à moudre, on a ôté les pierres pour remplir un grenier de sel.

Niala-Loisobleu – 1er Novembre 202

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