
SUSPENTE
Rails au ballast d’un chemin embarqué
un fleuve demeure
à dos de pampre
Au cap où l’Atlantique rugit
le déni de fin d’amour
tu as sorti ton flanc Algarve de la falaise
pile et face versant côtier
La tristesse ambiante se retrouve en butte aux sucres du breuvage
et les azuleros en gare montent le spasme des douze cordes bleues au jaune des tramways intrépides
arrive le moment attendu où les rues luisent du désir que le soir allume en l’accrochant aux façades
Cette tristesse porte son germe d’espoir.
Niala-Loisobleu – 9 Octobre 2020
ne crois tu pas que c’est une peur de l’amour plus qu’un déni?
J’aimeJ’aime
Oui tu as raison
L’homme ne peux vivre sans ce qu’il tue par sa peur d’être…
J’aimeAimé par 1 personne
Faut être tellement fort pour vivre d’amour et de beauté
J’aimeAimé par 1 personne
C’est vrai…
J’aimeAimé par 1 personne
Julie en suspension te revoilou….
J’aimeJ’aime