Après les Époques 2018 et 2019, voici le quarante-deuxième de cette nouvelle Époque 2020 avec BARBARA AUZOU : LES ENFANTS DE GAÏA 7 . Merci de considérer que le poème est indissociable du tableau et vice-versa…

Niala
Acrylique s/toile 73×60
L’oiseau seul savait
Combien j’étais excès
Tellement tendu vers l’ailleurs
Dans ce monde de peu que j’entendais
Battre le cœur des maisons au bout des corridors glacés
Et ce ne peut être que lui qui me posa ce vert de croupe
Dans les yeux pour que je m’allonge dans ta sieste inspirée
Toi tu étais rose bousculée tendre et dure comme un tambour
Corps vivant poussé sur un arbre de métamorphoses et d’amour
Iris mien d’une même mélodie trempée de naître
Pour laquelle il faudrait encore et encore déshabiller
Nos claires présences et tous les songes que l’on se choisit
Tu voulais que je garde la haute main sur la douceur des choses
Je t’implorais de toujours nous garder du négoce des fleurs
Venue rêver sur nos hanches la voix du conteur
Ne s’est jamais tue et a reconduit les paysages
Vers leur source absolue
Barbara Auzou.
Gardons la haute-main sur la beauté et l’amour
la mer-parapet pour nos jambes de sel
L’année n’ plus qu’une seule saison toujours-la nôtre….
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Les mendiants n’entreront qu’aumônières pleines
avec les oiseaux redirigeant les chasseurs
les lièvres apprenant aux tortues comment tendre le coup
et nos blanchisseuses au lavoir sur la brouette donneront de la batte
vas y avoir du boulot pour elles
refaire la chambre terrestre à neuf
toilée de Jouy
un conte de loir pour un château au bois-levant…
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Joue contre joue
Ciel contre ciel
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Le moins qu’on puisse dire c’est que WordPress en changeant son éditeur ne fait qu’alourdir le système et pour ce qui est de la beauté la mise en page est nulle
pourquoi dire en plus qu’on peut garder l’ancien qu’en c’est mission impossible…
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