PERPLEXITE DE PASSAGE


Les arbres à prunes noircissent en fruits du côté de la Garonne, je retiens que pas loin une ville rose chanta jusqu’à l’ivresse dans laquelle Claude tentait de remonter la pente

La vie et ses tranches est adepte du melon

Marthe ton sourire giflant les malheurs que tu as pu connaître jusque dans ta chair me tient aux pores

Vie de merde t’es bien la seule qui n’a pas de problème de transit.

Pas un jour sans qu’en selle tu sautes, joyeusement comme une sale gosse qui aime démembrer les mouches

Et sans forcer mon naturel, je peins bleu comme une mer qui porte

Etonnant non comme disait Desproges, plein d’humour en étant bouffé du dedans par le crabe. Nicomède a-t-on du me donner comme 3ème prénom

Alors je mets la barque à l’ô…

Niala-Loisobleu – 4 Septembre 2020

4 réflexions sur “PERPLEXITE DE PASSAGE

Les commentaires sont fermés.