
REGARD TRAPEZISTE
Je me tourne vers moi, des yeux que la marche a rempli, me déchausse, un cil de toi se frotte , dévisse le tube, prend le chiffon, et choisit son pinceau
le peau d’eau est clair
un peu manifesté, le petit grain de sable est là au coin comme de la pâte d’oie
mais j’ai la poitrine d’une chemise propre pleine de fleurs
quant à lui, le coeur, une moustache sous le né
comme accompagné du chien, il contourne tout sucre tendu pour le saut et coupe le filet
l’élastique toi seule sait comme je raffole de son sceau
reste tapie nue je peins des nouveaux transes pores
mes paupières s’en soulèvent…
Niala-Loisobleu – 23 Août 2020
Cirque en huis-clos pour a petite écuyère…Les paupières lèvent la voile…
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Épilant le nez rouge de la voile à fleurs, dans le blanc chanta un oiseau…
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Une danseuse et toile
Le tableau caracole
Tandis que l’arbre à soie
Horde sauvage…
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