
D’UNE SEULE BOUCHE
Ce cri décadenassé de l’estuaire un soir mouliné à marées loin de Rance
seins malle ô
le corps serre délassé en danseuse
l’écaille et la plume, le velours et l’aimerie, le cristal de vers anneau
du noyau à la pulpe au moment, pendant et après
laisse déborder l’eau des nouilles, sommes de dents
Seul
le tant qui conte
se déshabille des circonstances défavorables à une nudité de peaux fumantes.
Niala-Loisobleu – 22 Juillet 2020
Je vire toujours au bleu, je trouve cela très élégant…
prête à bondir pour ton divertissement dans les jardins du tant…
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Bleu à scier
Un rond d’un do pour remplir la portée…
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