
FLEUR DE NUIT
En longs traits de feu qui était le l’atteleur ou l’attelé, un tel fracas de couleurs confond, tes reins s’ouvraient, je semais à la volée
Au milieu des lianes virevoltantes tremble encore le ventre du côté où la marée étale les seins dans un déploiement floral
En me réveillant tenu par la branche, j’ai vu l’indélébile trace brillante demeurée hors de sa coquille
Le parfum de cette nuit se marie au jour , olfactive étreinte
Odilon Redon fantasia onirique, pavot de Fleur de Nuit…
Niala-Loisobleu – 18 Juillet 2020
Vivant poème….
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A veillée du feu gardé jusqu’à la butée des étoiles..
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