
AU LARGE D’UN CRAYONNE BLEU
Iode que le Caran d’Ache va promener sur la feuille blanche ballotée par une absence de vent frais
Où tu es à l’encre, un quelque part entre St-Jacques et Pied-de-Cheval, ce qui est sûr c’est qu’en bigorneau je ne peux imaginer qu’il te prendrait un départ en mère. L’eau qui coule reste salée malgré la chaleur morbide. A croire que rien ne parvient à me catacomber
Ta longue robe drape d’un voile une histoire vieille comme le monde qui résiste à la bêtise humaine bien que le sida et d’antiques M.S.T. lui soient venu à l’idée. Me rappelle, un roi déchu, le premier cygne et Leda. Vinrent les Gomorrhe et leurs sauts d’homme, tu me dis laisse beau, ma foi j’opine et crayonne
Alors l’haveneau devant, tu nages à la crevette pour que j’en remplisse la feuille…
Niala-Loisobleu – 18 Juillet 2020
Tu laisses beau comme personne….
Il n’y a que ceux qui n’ont pas admis la défaite qui le savent…et c’est poignée d’hommes sur le rocher de Tombelaine….
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Les autres bien qu’en brassées je leur fous le dragon à lécher leur fondement plus puant que raie zonée
Tombelaine la fortif de nos marrées, Ma.
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