CHANT ARABE
Telle une peau frémissante sur un corps qui se dérobe
La houle feutrée de mon abdomen se fige de peur démente
J’éternue mais je ne bouge pas
Et l’œil qui cloître mes rêves qui nage et qui clignote
L’œil envahit mes nuits
La nuit la nuit l’orage
L’œil éblouissant aux floraisons étranges
L’œil malade d’images.
Joyce Mansour

Plaisir cru à se savoir regardée….
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