
PARURE
Contre la coiffeuse un ciel neutre
dans la glace une image engagée
Vêtue de ton jardin
arbre à soie de forte impression
roses prolégomènes
des choses dites avant
la notion glissant entraîne le bout des doigts
Sur les lèvres à travers la menthe un bond défigé de l’inerte
chasse la poitrine-ouvrière au dehors puiser le nectar
sans que les brouillards du pays habité par les reptiles ne dépasse le premier prolongement
Une telle parure tient sans retenue au bord de l’autre oeil son intégrale nudité dans les plis de son sarong, le corps en espaliers.
Niala-Loisobleu – 21 Juin 2020
Quand les orages sont réprimés
les pelouses sentent le foin
une femme attend couchée contre l’horizon…
J’aimeAimé par 1 personne
Mars et ses foudres remise au râtelier
La pirogue se jette à l’eau à destination de l’horizon habité…
N-L
J’aimeAimé par 1 personne
Ce n’est plus loin la mer…
J’aimeAimé par 1 personne
Sans filet pour la prendre mais à l’encre pour la retenir, promis je vais voir à la rapprocher du haut du phare…
J’aimeAimé par 1 personne