D’UN SEL COMPLICE
Je remue ce fond de mer d’un vent à hisser la voile
ton verre débordant de soleil
et la ramure ancrée au chant d’oiseau
L’anse prise d’un lascif abandon
courbe son buste pour tremper devant le rocher
On ne voit plus la vieille maison de pêcheur qu’au fond de ce regard traversier laissé dans ton décolleté
un oiseau rouge au creux du ventre
Niala-Loisobleu – 8 Juin 2020

Femmes à la peau d’ambre
Qui dans la chambre vous penchiez
Les yeux clos
Qui vous ployiez
Comme consent une jonchée
A la pression du vent
Femmes soudain joueuses
Dans l’amour
Et fortes
Comme un torrent qui tremble
Femmes soleil
Jean-Marie Barnaud
Présence saline qui arrondit le monde sous la caresse pour mieux porter l’oiseau….
J’aimeAimé par 1 personne
Remous unique d’un fond corallien
Au moment du baiser de l’anémone
Les bulles oxygènent une clarté bleue…
J’aimeAimé par 1 personne
Cher Niala, il y a quelque temps, vous m’avez écrit un commentaire, en réponse à mon commentaire sur un article de Barbara. J’avais marqué pour vous répondre. Puis un certain temps s’est écoulé et je n’ai pas pu trouver votre commentaire. Alors maintenant, je m’excuse de ne pas avoir répondu.
J’aimeAimé par 1 personne
Quel dommage, si peu de commentaires me parviennent que j’aurai sans aucun doute apprécié d’en avoir un de Marcello…mais qu’à cela tienne, pas de problème…
Bonne journée.
J’aimeJ’aime
Sur la fenêtre ouverte
la première vague pose un sel tout neuf
bon matin
Merci Jane…
J’aimeJ’aime