L’EPOQUE 2020/20: LES BAIGNEURS 2
Après les Époques 2018 et 2019, voici le vingtième de cette nouvelle Époque 2020 avec BARBARA AUZOU : LES BAIGNEURS 2 . Merci de considérer que le poème est indissociable du tableau et vice-versa…

Jamais on ne marchandera la mer son sel roux
Je te maintiendrai bien au-dessus du mot son
Aérienne inconstance son cielleux bestiaire
Et s’il le faut même bien au-dessus de Nous
De Charybde en Scylla l’injonction
À être heureux est un galet plat
Qui ne ricoche que quand on a l’âme au travers des yeux
Et s’il faut remercier la vie on le fera
Comme des oiseaux sauvages
Engendrés par sa bonté imprévue
Sa tardive récompense nous serons
Si peu surpris de notre propre délestage
Que nous attendrons
Les monstres debout
Barbara Auzou
Je le bleu celui-là, marcheur d’infini qui mord en lune….
Bateau-berceau là où l’on entend battre le coeur
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Ta présence est d’autant plus remarquable
qu’ici pas besoin de courir comme un malade pour arriver avant les likeurs
Mettre sa joie et son amour en couleurs au moins je sais comme ça t’atteint…
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» l’injonction
À être heureux est un galet plat
Qui ne ricoche que quand on a l’âme au travers des yeux »
Touchant et beau même si les yeux parfois entremêlent l’aller et le retour sur de fragiles lignes de frontières où le rêve se dessine loin de soi sur des profils inconnus …..
» Il suffit d’avancer sur une rive
pour croire que notre passage
est cousu au monde
par le fil de l’eau
Il n’y a pas de raison que le fil se rompe
l’horizon n’est pas trop grand pour être un sourire ……. » J. F . Mathé
Merci à tous les deux pour cette foi invincible ….. Bonne journée
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Tout dans ce tableau témoigne du choix, la lumière meme n’y est qu’acquiescement…Seul le oui recoud les rives et lave les visages de la brume…La peinture d’Alain est un OUI.
Merci à toi Jane,
Je t’embrasse
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Dans le surf du ricochet se faufilent nos embarcations, train de bois, bât-tau de fer, cousu décousu, mais sans que le bouton se perde du fil, les couleurs ont grand-teint, parfois plus en orage qu’en cent nuages de ciel clair…
Merci Jane, la tige par-dessus les épaules, ce que je vois c’est plus l’absence des autres que ma tête qui roule au panier.
Je t’embrasse porteur d’émoi même…
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