
COU DE SOLEIL
La trachée en soufflet clavicule ses épaules au rythme de la toupie de sa poitrine joueuse. Le petit chat est à la ficelle. Son Sacré-Coeur culmine sur le tertre de la place que la pandémie nettoie des peintres pour autocaristes aux yeux bridés. Je funicule comme une salsa du démon. Tout propre de longs passages en bateau au lavoir, j’ébroue être. Un jardinier fantastique accompagné de son cheval à bascule et de son coq bleu. Ah c’est rose, Toulouse-Lautrec engrosse la Goulue, naîtra Nougaro le désossé. Les danseuses ont fendu leurs culottes pour un grand-écart en Edition Spéciale. C’est show au Moulin de la Galette. Les chapeaux volent et Mimi réclame des pinçons plein sa cage. Michou pédale dans l’ô de là. Ton cou sent le rayonnement des pores, je suis sur la crête de la fleur indienne avec laquelle tu flûtes pour ouvrir le panier de linge sale afin de redonner au jardin une fréquentation sans venin.
Niala-Loisobleu – 6 Mai 2020
Qu’il est beau ce corps jardinier qui s’ébroue dans l’orgie tendre d’un regard….
J’aimeAimé par 1 personne
Le coup du pair franc soit disant net sa joie de vivre et sa préférence avec qui et comment…
J’aimeAimé par 1 personne
Une biquette rose ça existe en flamant par là
Oh t’es dans l’cou , ma Julie..,
J’aimeJ’aime