Après les Époques 2018 et 2019, voici le quatorzième de cette nouvelle Époque 2020 avec BARBARA AUZOU : TOUJOURS À BONNE DISTANCE. Merci de considérer que le poème est indissociable du tableau et vice-versa..

L’EPOQUE 2020/14
« TOUJOURS A BONNE DISTANCE »NialaAcrylique s/toile 61×46
Et c’est dans le brasier
Fauve de la nudité
Des âmes que j’ai trouvé
Le sexe géant et rudoyé
De l’espoir son pourpre
Et sa plaie Ma liberté
Scandaleuse doucement cambrée
Sur la partition du poème
C’est assez pour me proclamer
Innocent L’amande changeante
Des yeux dont nous sommes tour à tour l’élan
Et le sourire étreint le midi des choses nues
Gouvernées par le même éclair
Le même nombre et les mêmes symboles
Au heurtoir de l’infini
Je frappe un rêve qui n’en finit plus
De s’écrire
De la mangeoire de l’enfance
Au rose d’une aisselle peu craintive
Et décemment possédée
Barbara Auzou.
J’ai fui la complaisance des pleurs
Debout par entetement
Debout sans plus te poser de questions
Je danse dans l’èclipse de soleil vaincu
Ce quatorze est une pure merveille de beauté et de vie…
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La bonne distance
au plus près de l’exacte altitude
simple humanisme
Ce 14 prend suite au 13 comme sa monture et son cavalier
un équipage
cette attente exprimée par Marguerite
Il est coeur, poumons, reins et tripes
plus que mes yeux
juste mes Mains, Ma…
Ne retourne pas à la complaisance des pleurs, elle est dans le mythe et pas moi….
N-L
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Qui
Qui pour voir cette mouvance cette vie…
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