LE SILENCE ET TA VOIX
Que de mots-peints
à peaux nues
et imprimés sur tes robes des instants allongés
Assez de soleil pour faire courir le chien dans le croisement de nos échafaudages
La tour principale de la lanterne monte sa flamme
L’ancolie s’accorde le choix de la couleur fondamentale au croisement de tes jambes qui dévoile
et n’empêche le bruit de ma barbe de pousser sans imaginer , elle a retenue comment tu t’ingénies à la promener pour la désenfermer d’un masque mûrissant dans les projets inapplicables en vigueur
Du rouge, des ocres, arrivent les bruns aux senteurs de havane, je pense au Vieil homme et la mer
aussi j’ai mis le bateau à la cale
pour emmener l’enfant à tremper
Au coin du boulanger l’odeur m’empêche de vieillir, Marthe s’y trouve infatigable, à me tendre la grosse part de flan toujours chaud…
Niala-Loisobleu – 7 Avril 2020

Tu ressembles à un espace réconcilié à toi tout seul et les chiens taisent le nom de ce coin de ciel là, la mer, penchant dedans, y est un gage d’espace chaud
J’y vois de grands anneaux mouvants, de grands ciseaux d’ailes, utiles comme des dents…
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L’utilité des dents sort d’affaire quand on déshabille avec les mains liées. Particulierement quand les poitrines développées se conduisent comme des chiots…
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