Les Métamorphoses du vampire
Léo Ferré – Baudelaire
La femme cependant, de sa bouche de fraise,
En se tordant ainsi qu’un serpent sur la braise,
Et pétrissant ses seins sur le fer de son busc,
Laissant couler ces mots tout imprégnés de musc :
– » Moi, j’ai la lèvre humide, et je sais la science
De perdre au fond d’un lit l’antique conscience.
Je sèche tous les pleurs sur mes seins triomphants,
Et fait rire les vieux du rire des enfants,
Je remplace, pour qui me voit nue et sans voiles,
La lune, le soleil, le ciel et les étoiles !
Je suis, mon cher savant, si docte aux voluptés,
Lorsque j’étouffe un homme en mes bras redoutés,
Ou lorsque j’abandonne aux morsures mon buste,
Timide et libertine, et fragile et robuste,
Que sur ces matelas qui se pâment d’émoi,
Les anges impuissants se damneraient pour moi ! « …
Charles Baudelaire

Un puits de sciences douces et maléfiques…
Bonjour Mon….
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Le sans pompé…Ma.
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Julie se débranche
Qui suce l’autre dit-elle en se recrachant ?
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merci d’avoir partagé!
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