
L’OISEAU FAISEUR
La montagne au fond se propose abordable. Avec la voile la coque est montée, un vent favorable s’étant couplé aux jambes
Merlin avait précédemment fait un passage dans le Greluche-Day. Il sort du terrier les passagers de son pote Noé. Des Néréides ont essaimé quelques garnements qui s’étaient inscrits à l’Institution d’Ernesto
La haute branche d’oiseau n’a pas été mise au programme d’élagage
Nous ne couperons que les mauvaises langues
Marguerite t’a dans ses rives
Le bruissement des serpents est biffé de la composition musicale, on a renforcé l’intervention du triangle par rapport à la hauteur de l’herbe folle.
Niala-Loisobleu – 8 Mars 2020
J’aime délibérèrent ton ciel capable de toutes les métamorphoses…
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Tu me combles aussi puises dans mon chapeau sans hésitation…
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Mer-liens l’enchanteur…
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Pris d’un long frison, je me balance en ton élan….
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Belle triangulation que cette montagne, ce serpent et ces herbes fofolles.
Ecrivez-vous vos textes au fil à plomb?
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Au contraire des Bermudes quand au zénith de mon triangle, je passe en avion, j’amerris sans obligation mais bien par grand plaisir
Oui, car mon fil à plomb n’a pas le côté toxique d’une conduite d’ô…
Merci Johan, vite je t’offre la seconde solaire qui passe à travers la pluie…
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