
EGO DU PAVE
Au fil de tout ce qui m’a roulé dessus, je passe devant la vitrine de ma marche existentielle en ne me voyant plus que comme la fleur du fumier qui sourit
puis me dis, l’oeil gibbon, qu’en plus on s’est pas retenu de m’empêcher
supplice indien des quatre membres attachés au soleil
sur nid de fourmis rouges
fosse couche de vernis du celui qui en un sourire te ramasse et s’en va
Suis solide comme une carne attelée bourrin
Quand je vois le point rouge de l’oeil cligner à l’artère principale, je souris du bonheur imbécile de l’heureux qui se dit, la fleur que voilà qui va fleurir est à moi
Rien que d’amour partagé…
Niala-Loisobleu – 3 Février 2020
Ta vie qui pousse comme un lierre
Seule la mer peut la couper….
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Tu crois que c’est pour ça que je m’y trempe plus que les pieds ?
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voui
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