La vérité du drame est dans ce pur espace qui règne entre la stance heureuse et l'abîme qu'elle côtoie : cet inapaisement total, ou cette ambiguïté suprême. Saint-john Perse
Le vent revient plus tard du chemin reconnu
Les mains pendent au bord du livre
Tête nue l’homme traverse l’heure l’éclair le champ perdu
Sur la pointe où le ciel se fixe
L’étoile et son pignon
Quand les raies de couleurs arrêtent l’horizon
Une roue se détourne l’eau s’éveille en sueur
et les berges ruissellent
Une fenêtre glisse un regard imprévu
Entre le coin du mur et la flèche de l’arbre
Une ombre qui remue
Pierre Reverdy
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2 réflexions sur “DANS LES RAILS”
J’ai toujours pensé que la fenêtre était complice du paysage choisi…
J’ai toujours pensé que la fenêtre était complice du paysage choisi…
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Oui comme l’espace est gond de la porte…
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