ENTRE TIEN EMOI 120
D’un riff écraser le serpent à la guitare. J’aurais dit du pépin trop de pluie y en a marre. Sans vouloir revendiquer le sec, je vois pas de raison de me coller les lèvres à la vitre pour faire poisson d’aquarium. Je rêve de plus que tes bras pour accrocher mes feuilles, jusqu’au tronc. Entrain de te croquer la paume et quelques larmes dans la voix. Api borde haie l’églantine décoiffée au prépuce ça cabane. Je derviche du bouzouki en voyant tes seins faire la grande roue. Les dimanches sans soleil restent haïssables, t’as mille fois raison ma Juju, quand tout s’effond trois p’tits tours et puis s’en vont en Avignon. Pour oublier que je manque d’instruction civique je montre mon cul à tous les passants. Tonton Georges reconnaît alors les copains d’bord. T’as tiré la mer d’une ligne de chevals, laisse-moi ton modèle sans pause, je m’attèlerai l’araire jusqu’à remplir le grenier de ton encre pour chasser l’inculte en te mangeant le trop gnons.
Niala-Loisobleu – 1er Décembre 2019
De quoi te plaire
Toute seule à l’ombre
Je rêve de tes bras
La nuit noire s’effond
Et quelque larmes dans ma voix
La route était si longue
Pour arriver jusqu’à toi
Et tu viens de me dire
« Surtout ne t’arrête pas »
Je regarde encore une fois
Dans le miroir je ne trouve pas
De quoi te plaire
Alors j’écris des mots sans voix
Pour oublier que je n’ai pas
De quoi te plaire
De quoi te plaire…
Il y a autour de moi
Tous ces hommes à la fil
Mais même additionnés, multipliés,
Je crains qu’il n’y ait pas chez eux
Le moindre souffle de ta grâce
Et tu viens de me dire
« Reste ici, moi je passe »
Je regarde…
Je rêve de tes bras
La nuit noire s’effond
Et quelque larmes dans ma voix
La route était si longue
Pour arriver jusqu’à toi
Et tu viens de me dire
« Surtout ne t’arrête pas »
Je regarde encore une fois
Dans le miroir je ne trouve pas
De quoi te plaire
Alors j’écris des mots sans voix
Pour oublier que je n’ai pas
De quoi te plaire
De quoi te plaire…
Il y a autour de moi
Tous ces hommes à la fil
Mais même additionnés, multipliés,
Je crains qu’il n’y ait pas chez eux
Le moindre souffle de ta grâce
Et tu viens de me dire
« Reste ici, moi je passe »
Je regarde…

La pomme tombée la dernière du verger avait eu le temps de tout apprendre des vertes et des pas mures…Aussi ne fut-elle pas une pomme à-cide mais une pomme à couteau pour la toile et butée et sans quartier c’est aussi elle qui atteignit les étoiles…On l’a dite pomme d’amour, le bleu lui monta tant au trognon qu’elle en devint rouge, d’un rouge que l’on embrasse aux joues d’air frais pour la santé…
Ma Ju de Pomme est toute rainette…
J’aimeAimé par 1 personne
Le pur jeu de Pomme est pudique, les fleurs disent la promesse du fruit
La pommeraie a quelque chose qui se voudrait vrai
On embrasse
Les bovins tâchent de rousseur tes cheveux. Que de marguerites se piquent à grimper les collines
Ta Ju
Le poil luisant se gonfle à traire du soleil…
J’aimeAimé par 1 personne
Dis moi
Dis moi comment on fait pour rester droit fou et beau, tout cela tenu ensemble sans s’abîmer jamais
Dis- moi que l’impossible par nous est possible…
J’aimeAimé par 1 personne
Trop de facilité réside dans le choix de la rixe et de la haine. Se battre oui c’est humain mais seulement pour tuer là bêtise.
Ton corps comme le mien aime à chanter la vie au sens où elle se donne à l’amour…
J’aimeAimé par 1 personne