ENTRE TIEN EMOI 118
Tu n’auras pas les commentaires que j’avais fait sur ton dernier article réédité. Worpress me les a avalé en prétextant qu’une erreur s’était produite. C’est d’autant plus faux que j’exprimais mon attachement à ton écriture, au-delà de tout autre. Je ne dis jamais sa beauté pour ne pas en effriter son visage. A dire avec des mots que l’emphase va réduire, manque la part orgasmique éprouvée. On vient pas dire ça au monde. C’est profondément vertical. Je te regarde en levant les yeux. Traversé, rendu muet, transporté, d’un oeil empoigné. Le paysage se fait d’une réalité qui trouble, Il est les seins nus devant tout. L’imaginaire est d’une réalité confondante. Pour un sale type comme je suis, imagine, on est dans le cas de conscience. Et ce poème que tu remettais, je tombe dedans comme on voit tout devenu bonheur, complicité totale, l’écriture traversière, la nudité collée, je touche ta terre au fond de son herbe drue. Tiens l’automne ramasse la mer et la remet aux arbres, qu’est-ce que ça élingue, ces oiseaux sont les derniers habitants de la canopée. Fou et fier de l’être.
Niala-Loisobleu – 19 Novembre 2019

Merci, ta présence me touche saphilopes..
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Je remettrai demain ce poème réédité qui a disparu aussitôt publié. J’aime les mots qui resurgissent de la terre comme des fleurs après l’incendie de foret…J’ai un dieu parfumé dans les reins de ma gorge qui pense un merci que je ne dirai pas et que je garde pour nos nids de veille silencieuse…En ces temps de flammes et d’inquisition j’aime te savoir rentré à la maison…
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WordPress est une sinistre usine à gaz et d’autant polluante qu’elle permet la présence de certains abonnés qui sont des sasseurs sans qu’on puisse les supprimer. Voilà qui pourrait assainir. Tenons la maison à l’écart…
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Pas sasseurs CASSEURS…
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Pas de hasard pour être au soir dans ce lieu tel…
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