POURQUOI LA JOURNÉE VOLE
Le poète s’appuie, durant le temps de sa vie, à quelque arbre, ou mer, ou talus, ou nuage d’une certaine teinte, un moment, si la circonstance le veut.
Il n’est pas soudé à l’égarement d’autrui.
Son amour, son saisir, son bonheur ont leur équivalent dans tous les lieux où il n’est pas allé, où jamais il n’ira, chez les étrangers qu’il ne connaîtra
pas.
Lorsqu’on élève la voix devant lui, qu’on le presse d’accepter des égards qui retiennent, si l’on invoque à son propos les astres, il répond qu’il est du pays d’à
côté, du ciel qui vient d’être englouti.
Le poète vivifie puis court au dénouement.
Au soir, malgré sur sa joue plusieurs fossettes d’apprenti, c’est un passant courtois qui brusque les adieux pour être là quand le pain sort du four.
René Char

Eh bien, Mon, celui-ci je ne le connaissais pas…
Il m’évoque l’intime qui refuse le saccage et le don sans merci dans le silence de la fuite…
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Précisément et tombe pile poil vont d’air, le petit lapin qui allume la pine sans l’user…de son faisceau orienté sur la mauvaise marguerite fous-là ko…
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Le petit lapin je croyais que c’était dure à sel???
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Tu dois avoir raison mais le dur à celle c’est d’un éclairage douteux…
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Alors je reste Wonder woman
ça tombe pile
Et me recharge dans la luzerne
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Tes seins foins pour les jours à la faucille, sans le marteau…
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Faux comme nudiste…
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