
ARROSAGE DU MATIN
Ses lèvres frémissantes au bec
le haut-bois enfoncé jusqu’aux hanches tire de douces couleurs de l’eau
Au bas du doute le chien allongé de tout son long étanche
à peine si l’on entend la paisible transpiration au vase communicant
Les immortelles déversent depuis les poutres
accompagnant le vélo dans la descente des mains du guidon
Tu me dis timbre-moi
je suis prête à m’expédier.
Niala-Loisobleu – 15/11/19
Les immortelles aux poutres ont des sourires fendus de rivières
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Du fendu vient que du bonheur…
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