Dans la pénombre du sommeil la trotteuse du rêve promène tes seins autour de ma présence dans la couche. Debout à l’appui du buste, tête en bas, ils picorent dans les traces laissées. A deux pas la grange restée ouverte tient la dernière botte rentrée apparente.
La chambre située sous le grément baigne dans un mélange d’actes nés de promesses tenues.,,
N-L – 31/10/19

Quand au soleil poussent d’autres mains, les nuits sont aussi belles que le jour, Mon…
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Pourquoi chaque instant ne pourrait s’embellir d’une satisfaction continue ?
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