PENDULE EN EXIL
De mercure le temps s’étire
Par les basses d’une viole prise au cadran
Rauque voix du temps qui n’avance pas
Sortir du gousset-souricière d’un bond de libellule traversant le marécage
Entrer entre les deux cuisses de la fraîcheur et nager dans l’herbe cristalline
Echange sans équivoque, où sans chercher la forme est couleur de vivre à créer
Loin de l’aride son de cordes vocales sèches
Sans appel à boire un ciel plein son vers
Niala-Loisobleu – 30/10/19

Où il est dit que le cadran solaire reste le meilleur moyen d’avoir la bonne heure…
Bonjour Mon…
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Celle marquée par l’érection solaire, Ma…
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