La vérité du drame est dans ce pur espace qui règne entre la stance heureuse et l'abîme qu'elle côtoie : cet inapaisement total, ou cette ambiguïté suprême. Saint-john Perse
2 réflexions sur “Francis Cabrel – La fille qui m’accompagne”
Elle parle comme l’eau des fontaines
Comme les matins sur la montagne
Elle a les yeux presque aussi clairs
Que les murs blancs du fond de l’Espagne
Le bleu nuit de ses rêves m’attire
Même si elle connaît les mots qui déchirent
J’ai promis de ne jamais mentir
À la fille qui m’accompagne
Au fond de ses jeux de miroirs
Elle a emprisonné mon image
Et même quand je suis loin le soir
Elle pose ses mains sur mon visage
J’ai brûlé tous mes vieux souvenirs
Depuis qu’elle a mon cœur en point de mire
Et je garde mes nouvelles images
Pour la fille avec qui je voyage
On s’est juré les mots des enfants modèles
On se tiendra toujours loin des tourbillons géants
Elle prendra jamais mon cœur pour un hôtel
Je dirai les mots qu’elle attend
Elle sait…
il faut se tenir loin des tourbillons géants, Mon…
Je t’embrasse d’amour…
Elle parle comme l’eau des fontaines
Comme les matins sur la montagne
Elle a les yeux presque aussi clairs
Que les murs blancs du fond de l’Espagne
Le bleu nuit de ses rêves m’attire
Même si elle connaît les mots qui déchirent
J’ai promis de ne jamais mentir
À la fille qui m’accompagne
Au fond de ses jeux de miroirs
Elle a emprisonné mon image
Et même quand je suis loin le soir
Elle pose ses mains sur mon visage
J’ai brûlé tous mes vieux souvenirs
Depuis qu’elle a mon cœur en point de mire
Et je garde mes nouvelles images
Pour la fille avec qui je voyage
On s’est juré les mots des enfants modèles
On se tiendra toujours loin des tourbillons géants
Elle prendra jamais mon cœur pour un hôtel
Je dirai les mots qu’elle attend
Elle sait…
il faut se tenir loin des tourbillons géants, Mon…
Je t’embrasse d’amour…
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A ta fontaine où je bois d’amour Ma…
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