V’OUÏE V’OUÏE V’OUÏE
Un poisson traie la vague
bouche-à-bouche
L’anémone en lèvres d’en vie
Le corail se montra alors plus charnu qu’algues ronçonneuses
la liberté d’expression bien en vue
Qu’en définitive je ne fis plus que de la peinture à l’ô
laissant l’huile à la sardine boucheuse et aux fois de morues dégorgeuses du vieux pore de Marseille.
Niala-Loisobleu – 14/10/19

Je veux une vie en forme d’arête dur une assiette bleue!!!
Ah V’ ouïe , V’ ouïe alors…
Ton rire frais découpe les rivières d’enfance…
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vous mélangez les mots comme l’huile sur la palette et cela donne de magnifiques oeuvres
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Alors là Gabrielle, tu me retournes (pas dans la tombe comme le Boss), je suis comblé, te lire c’est bonheur. Et quelle peinture, merci tu peux me tu, ce s’ra encore mieux, t’embrasse, merci bien !
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Mieux que le né du sire anneau en mâle d’inspiration…les rivières de l’enfance me sont un pont qui Kwaï qu’il m’arrive me tiennent au ventre, Ma…
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Le pont qui Kwai les v’ouïes, ça rend le poisson frétillant, Mon…
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Le problème c’est qu’il va à la messe sans vouloir être couvert, c’est un vrai mécréant de foi, Ma…
mais voilà ce qui s’appelle un faux-problème..
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