GRANDS FONDS 6
Peindre au résultat des pleines mains toutes entières vers
Donnant au dépassé du poignet
l’ongle planté à la racine du poil que le pinceau animale
même bique à l’écrit ovin
Fouille au profond derrière la fougère
soulève la pierre
pioche le terrier
insinue la mousse
piétine le ru
ricoche le gué entre les deux rives
Peindre à dire c’est faire l’ouvrage qui tiendrait en mains le sentiment rougi-vif par le ressenti
Eaux-Neuves
un estuaire qui noce avec la mer
Il tient le coquillage par le talon le reflet du couteau
et bourre à pâte la toile ouverte
J’ai
une remontée oesophage à l’oeil de larynx jouant notre chanson sur tes cordes vocales…
Niala-Loisobleu – 05/10/19

On n’a pas heurté l’âne de nos vies pour épingler la première libellule, Mon…
Maintenant on sait que l’arbre de nos vies était un peint parasol….
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Peaux à gemme nous sommes
Incisés androgynes
La mer en conque
Vertical m’as dressé
Légende cathare, Ma…
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Oui
Et la légende cathare très vite est entrée dans l’histoire te souviens tu….
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Voila un nouveau thème des plus attirant ; « eaux-neuves »
Filtrer les eaux croupies avec leurs moustiques
Nettoyer les bas fonds avec leurs murènes
Déboucher l’arrivée du ru
Pour qu’une nouvelle puisse couler
celle que l’on peut boire à vlonté
celle qui abreuve toute Vie
celle que que l’on chérie
Bon nouveau jour, MonAlain, je t’embrasse
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Mas n’avait rien du verbe avoir mais tout de l’habitat d’accent
L’iPhone est une abomination qui aide à la déculture, suis outré…
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Je comprends tout de toi à travers les lignes…
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et la bique
au secret
scella en monte
Julie poil d’herbe
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