GRANDS FONDS 5


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GRANDS FONDS 5

 

Tandis que se sonnent 18h45, je tire du fauteuil le corps en meilleur état que je l’y avais déposé deux plombes avant

la mer très grosse

vagues d’immeubles , pas compté les étages, par l’escalier très proche de l’impossible, métaphore destinée à donner une image de l’effort physique et intellectuel dans lequel je ramais

Ah oui

qu’est-ce qu’une métaphore

Procédé de langage (figure, trope) qui consiste dans une modification de sens (terme concret dans un contexte abstrait) par substitution analogique.

Voilà, passons

Si je dis que depuis hier j’ai peint dans l’eau comme un malade pour ne pas me noyer, on comprendra pas davantage. Les Grands Fonds c’est mon destin. Tandis que j’oeuvre, wordpress me gaule Count Basie et le com que j’avais mis sur HORS DU LANGAGE DE B.A

C’est plus possible

Je n’ai pas dit plus sur EST-CE

que déjà ça déborde de la bassine

pourvu que j’ai les pieds pour taper au fond

Niala-Loisobleu – 04/10/19

PS – Si un un fin connaisseur me dit juste comprendre rien mais mais que Chagall je ressemble, je le poubelle.

4 réflexions sur “GRANDS FONDS 5

  1. Il y a ce qui rassure
    et dort au coeur de la chose
    on l’écoute
    dans la boucle du fleuve
    dans la houille éclairant
    de ses brasiers
    le corps de la jeune femme
    qui s’expose à la vie
    dans la ramure et le jour clair
    ou dans la nuit poignante.

    Jean Follain

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  2. Oh oui ne pas confondre faille et fente
    Mais allez expliquez ça à des abonnés qui lisent pas , c’est mission impossible, déjà qu’ils s’imaginent que c’est à eux qu’on écrit…

    Aimé par 1 personne

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