
COMME UN SONGE DE FRIDA
Cendre froide qui colle aux bouchons épars d’une marée qui se fait attendre, dans l’ordre renversé j’enfile le soutien-gorge dans la poche du kangourou attaché à la chaise
les hublots tendent l’oreille
c’est vrai que les haubans ont besoin de retendre
du café salé ferait bien l’affaire
Je n’ai pas été étonné de me retrouver collé au poplité, les maux de genou que tu m’écrivais dans la fureur de l’enfant rageur cherchaient à retrouver l’assise au debout d’un pont glissant
Quand tombant comme d’un coup de merlin frontal le calme a ramené un câlin t’as pu allonger la jambe sur le dos et te laisser tanguer dans mon dernier métro
dans le tracé morse de l’éclairage du tunnel , je me souviens que des coeurs peints sur les murs digérant le bruit de ferraille d’une chaleur écrasante
La griffe des ongles du besoin est telle que les bras de Samo tracent un désir sans arrêt
Niala-Loisobleu – 27/08/19
Il est des heures miraculeuses où la douleur se fait silencieuse croquée au trognon par d’amples désirs de vie…Bonjour Mon….
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Le trop gnon se faisant délice
De quoi rendre Sade jaloux, Ma…
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