
PLUS LOIN
J’étais dans l’oeil d’un orage, la fenêtre qu’elle gardait ouverte sur ses genoux me tenant par toutes ses cellules en refus de prison
L’oiseau dessinant son visage en pressant sur la pelure d’un fruit opiniâtre mit l’arbre en protection au verger
Comme l’orange adoucirait le vin du campari en projet révisionniste, un zest gratuit mit fin à l’abandon
Ses yeux au violet-vert qu’ont les doubles figues quand le dentelé de la paupière les libère, roulèrent comme le silence des vagues au soleii-de-minuit où même sur une seule jambe on se trempent nus à deux.
Niala-Loisobleu – 26/08/19
Un déroulé de vie d’une beauté inouïe, Mon…J’ai pensé en premier te rebloguer puis égoïstement j’ai eu envie de le garder pour moi…
Je serai la gardienne des fruits et du compotier, je te le promets…
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T’as bien fait, qui ceci aurait pu intéresser ?
Le reblog c’est louche de commerce esclavagiste
pis d’abord nus ça regarde que nous, Ma..l
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A propos Ma, ton g’nou c’est d’une plastique naturiste qui fait mûrir la grappe sans revendiquer la présence de la feuille…
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Genre meulons d’ô ?
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Ah mais c’est pas faux !
Seulement ce soir le fruit mi figue mi raison se prend pour une pastèque, Mon…
On a l’air un peu con quand- meme avec ce type d’excroissance au gnou!
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Voui
Melon d ô
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