COMME UNE CABANE
La toile crève l’abcès d’un monde inconséquent
arrosant le jardin sec
A la gauche des cloches de verre des pissenlits tiennent la mémoire vive
Les êtres qui sont passés là sortent sans dire un conventionnel « comment ça va »
lucioles des pierres debout ils balisent la piste
que les ifs grimpent en haut de la colline
et lancent le pont qui franchit sur l’arche des toiles
Ce silence qui parle en moi c’est toi en couleur sur un monde neutre d’un néant lunaire retrouvant le pouls d’un espoir conscient
L’enfant monte dans le train.
.Niala-Loisobleu – 23/08/19

Un terrier, mais un terrier ouvert qui a dit oui aux grands manœuvres de l’horizon….
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Texte et illustration magnifiques. Merci de ce cadeau.
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L’abri sauvage d’une authentique demeure, Ma…
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Merci Yann
Heureux de savoir ce partage…
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