
JEUNESSE
Sur les parvis de la parole où l’enfant n’a que le geste des yeux pour clef
je vois des fleurs vivre en mode oiseau
couleur vivante sur la face de pierres grisées par une croyance subjective
Cette écume poussée par l’incessant mouvement de marées
plus diserte que les psaumes d’une procession en lutte contre le mécréant
pose à la base rocheuse
la respiration des pierres vierges qui monte et dépasse la falaise
porteuse d’embruns que je bois au ventre de mon unique croyance
Niala-Loisobleu – 16/08/19
Bleue l aile iodée de l unique croyance palpite
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Juste rendu en décalage de la rançon donnée pour un sourire de joie rencontré
mais ce qu’on donne d’amour n’a pas de prix…
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