Nous sommes de quelque part
prise sur le mauvais sort
Là
présente au rythme des rouleaux
fleur de sel
pouliche de mer
rein ramasseur de varech
imputrescible rocher faire et haut
d’une nativité muette au mouvement de parole
Par le harnais refouleur d’inertie, elle se demande pas pourquoi la flûte de ses cordes se boucherait les trous
Mémoire bien plus vive que le piquant petit poisson caché dans le sable d’une bouillabaisse pour touriste
ce qu’elle m’enchante Mesdames, Messieurs, s’accompagne de mes doigts tremblants de bleu
Tango-tango d’un barrio où nos quais ont accostés, saudade d’un tort injuste, fado d’un ramasseur noir de coton blanc, la Volga et ses bateliers, l’antique boulet à gravir, blues harlem du cireur, l’ont faite taureau de combat prête à rejoindre Chiron au combat des centaures
La maison blanche au petit-jet du patio on l’habite à flanc de village.
Niala-Loisobleu – 5 Août 2019

Bûcheron de mes pas j’égare les mensonges dans le bois et plante droit la justice et l’amour…
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La vérité en contre bande passe les doux âniers, Ma…
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