LE COUP DE J’ARNAQUE
La vilaine bête noire, pattes plus velues qu’un mol est lâche s’acharne à te distribuer ses lettres anonymes. au nom d’une vengeance obsessionnelle qui le rend criminel
Accusé d’être le don Juan, Casanova de WordPress par ce corbeau, je me retrouve dans son confessionnal sordide affublé de copies d’articles que j’ai fait paraître, en particulier en 2016, qui seraient l’identique de ceux que je rédige aujourd’hui à ton adresse, Ma.
Odieux montage que le fiel et la rage d’un mal dont j’ignore les faits provoque dans un art maîtrisé de l’hypocrisie criminelle.
La règle de l’anonymat couvrant la fourberie j’ignore évidemment d’où et de qui le poignard au curare provient.
Se pourrait-il qu’un pays frontalier dont un autochtone me piste régulièrement soit l’auteur ? Pourquoi pas l’acte étant celui d’un schizophrène avéré (e) il y en a partout dans le monde, alors pourquoi pas en Suisse ? La neutralité est la couverture préférée des assaillants.
Je m’oppose à cette vilainie, non pas parce j’ai le principe actuel qui veut que tout menteur s’insurge comme les hauts-dignitaires de l’Etat le font. Non c’est plus idiot que ça, simplement parce que c’est faux.
Il serait trop compliqué de faire comprendre ce que je suis vis à vis des femmes depuis ma plus tendre enfance. Au nom d’une égalité chronique je n’ai jamais pu trouver la moindre différence dans le domaine des droits entre elles et les hommes. Ce concept m’a naturellement amené à posséder une notion d l’amour qui est très au-dessus de la ceinture. Mon combat passe alors très au-dessus des t^tes des censeurs. Etant réputé carré, me traiter d’imposteur menteur, montre à quel point le corbac est aveuglé par son crabe qui le bouffe du dedans.
Aussi, sait-on jamais, je peux le débusquer, soit une invite à se retirer rapidos du circuit postal.
A bon entendeur salut…
Niala-Loisobleu – 5 Août 2019
L’ANTI-TOI
A l’état de mante et dans son beau corps de corbeau et de tatou, l’homme hume et allume un pâle tourment nid, nid infini.
Mille tatous tatouages, mille tatouages couvrent d’un beau manteau d’ours et de loup, d’un beau manteau de velours lourd, sa serre, sa cervelle frêle et sauvage, mille tatouages mentaux
couvrent son cerveau de vautour :
l’étrange anneau d’une nourriture qui le noue et le mange, l’effroi du ‘ froid et du chaud qui le chasse et l’effrite, la poussière qui le pousse, qui le ronge, qui le hante, l’effort
de tourner vite, nu, inné et dément, de tourner inutilement dans un trou qui le songe et partage, et puis il y a l’efficace qui l’épuisé et l’efface devant l’absurde et
l’absence de toute essence paire, rixe instable, impaire, impérissable, de toute essence impérissable, sable mouvant, vent, or, or, rage nuancée, le muet et toi, et toi, toile
étoilée, sourde-muette» boîte vide, boiteuse, filante, lente et rapide sur l’écran de mon crâne tatoué à l’haleine de ma mère tatouée et
tuée à l’intérieur de mon dedans, mot dent, mordant mordu et tordu dans mes cris mentaux, dans mon crime mental, creux creuse creusé dans la peau de mon cerveau, en pleine
plaie terre, terreur et vertige de l’or, de l’or, de l’horreur de vie, de vivre comme les poux, comme l’époux de l’épouvante, en pleine mort vivante du mot, du monde mortel tel que la
vie de ce monde vide et immonde nous l’inflige.
Avec ses maux de tête, de traître, avec les maux, les mauvais coups qu’elle joue quelquefois au couple capital, la vie coupe une fois pour toutes, pour toujours, en petits maux, en
petits mots, en tous petits morceaux le corps fondamental du couple, cette mante démente du moi sous-souple et total et en fer, enferme le beau, le beau corps, le beau corbeau fondamental
mental du moi dans une cage métallique, lit métaphysique qui le rend fou, froid, prisme, prisonnier et mère, père périssable.
Mais les tatous qui sonnent, les tatous qui sont tous tâtés aux os par moi, les tatouages mentaux d’un zoo qui pousse dans mon anticerveau à moi, ce faux dément en rage
contre les maux, contre les mobiles qui me séparent de mon toi, qui se parent de ma bile à moi, qui se partagent abus abusif abusivement le moi et le toi à moi, rampent, plissent
et remplissent en moi la panse, la pensée dé déjà pensée et labile du toi et la remplacent par une pensée pensante, saillante, saignante, qui à son tour est
repensée dans une sorte d’autopensée errante, erratique, erotique et vie viol violemment absente.
Ainsi l’an, l’anti, l’antinomie mythe et vie écrit vite sur l’épée son nom d’épave qui sait, qui roule, qui s’écroule dans la vie, car les deux terres, les deux termes
de l’antinomie jouissent mais d’ici, dissimulant l’anti-anti, le trois, qui à son tour les simule en deçà ou d’ici, distançant ainsi encore plus la distance entre l’un,
elle, elle et l’autre.
Elle lance et contourne un évanouissement contractile tactile, contradictoirement tourné vers l’autre, et contre-balance un épanouissement expansif autour d’un front à
distance, rond, pensif, content, plat, actif et contemplatif.
Capturant l’essence du moi à ses vices, à ses viscères qui puisent tout, qui puisent toute leur haine, or, or et orme, toute leur énorme puissance d’un rêve
mâché par l’écho d’une bouche errante mais puissamment atta-quée-attachée au cordon d’ombre ombilical comme une bille qui glisse dans un beau bocal vide ou sombre, la
tour du moi tourne comme une bille, elle tourne tout doux douce doucement dans le tourbillon du ventre mental.
Et c’est à l’or du mot, hors, hors du monde dévot dévorant que la mante, c’est alors que la mante mord le corbeau dans son centre.
Avec émoi dans le cœur et la crainte solitaire de se taire à jamais derrière sa tête, le moi casse et anime le toi qui l’aimait et qui étale ainsi, étoile
éteinte et lointaine, toute une astronomie animale sur l’étreinte.
Au nom de l’antinomie frénétique et exquise, l’anti-toi est un tatou schizophrène et unique.
Ghérasim Luca


Regarde….
BARBARA AUZOU et NIALA
La Poétesse et le Peintre en une m’aime encre qui peint.
Poussant la porte en toi, je suis entré
Agir, je viens
Je suis là
Je te soutiens
Tu n’es plus à l’abandon
Tu n’es plus en difficulté
Ficelles déliées, tes difficultés tombent
Le cauchemar d’où tu revins hagarde n’est plus
Je t’épaule
Tu poses avec moi
Le pied sur le premier degré de l’escalier sans fin
Qui te porte
Qui te monte
Qui t’accomplit
Je t’apaise
Je fais des nappes de paix en toi
Je fais du bien à l’enfant de ton rêve
Afflux
Afflux en palmes sur le cercle des images de l’apeurée
Afflux sur les neiges de sa pâleur
Afflux sur son âtre…. et le feu s’y ranime
Agir, je viens
Tes pensées d’élan sont soutenues
Tes pensées d’échec sont affaiblies
J’ai ma force dans ton corps, insinuée
…et ton visage, perdant ses rides, est rafraîchi
La maladie ne trouve plus son trajet en toi
La fièvre t’abandonne
La paix des voûtes
La paix des prairies refleurissantes
La paix rentre en toi
Au nom du nombre le plus élevé, je t’aide
Comme une fumerolle
S’envole tout le pesant de dessus tes épaules accablées
Les têtes méchantes d’autour de toi
Observatrices vipérines des misères des faibles
Ne te voient plus
Ne sont plus
Equipage de renfort
En mystère et en ligne profonde
Comme un sillage sous-marin
Comme un chant grave
Je viens
Ce chant te prend
Ce chant te soulève
Ce chant est animé de beaucoup de ruisseaux
Ce chant est nourri par un Niagara calmé
Ce chant est tout entier pour toi
Plus de tenailles
Plus d’ombres noires
Plus de craintes
Il n’y en a plus trace
Il n’y a plus à en avoir
Où était peine, est ouate
Où était éparpillement, est soudure
Où était infection, est sang nouveau
Où étaient les verrous est l’océan ouvert
L’océan porteur et la plénitude de toi
Intacte, comme un oeuf d’ivoire.
J’ai lavé le visage de ton avenir.
Henri Michaux, Poésie pour pouvoir.
Je viens de terminer les maquettes…Il n’a que ça qui compte…Tu vérifieras quand-meme , Mon…
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Pilori dans l’amer
Les crabes mordent
Ô sel
Regarde-moi seulement à travers ton carreau
Le ver infâme est un calomniateur
Sur l’azur propre je ne masque rien…
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Je pense que ça vient de moi (encore) , merci pour ta vigilance, J’en ai marre de ces gens qui s’incrustent pour mieux spolier les amis. Le corbeau (si c’est le bon) a perdu un camembert. Je t’embrasse
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Je veux mieux comprendre MaJo…
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Donne-moi de quoi comprendre, en quoi es-tu mêlée à cette affaire, éclaire-moi c’est nécessaire.
Bonne journée MaJo, je t’embrasse…
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