L’EPOQUE 2019/34 – « TRANSE-MIGRATION II »


L’EPOQUE 2019/34 – « TRANSE-MIGRATION II »

 

Voici « TRANSE-MIGRATION II » le trente-quatrième de cette nouvelle Epoque 2019 avec Barbara Auzou.

C’est un travail à quatre mains , merci d’en tenir compte dans vos commentaires.

 

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Acrylique s/toile 114 x 81
L’Epoque 2019/ Niala

 

Des toits non-négligeables de l’éveil

S’est envolé le désir d’un espace fou

Où bâtir un lieu de haute sensibilité

Et l’amour émigré de contrées en contrées

S’est établi au soleil d’une terrasse blanche

Aussi réelle que le rêve qu’on en fit

 

Ce serait désormais et pour toujours notre sourire désarmé

Aux femmes aux hommes et aux étoiles que ce défi

Qui inventa de nos visages la cohérence

Dans les déclinaisons solaires de l’étreinte

 

Vois sur ce chemin secret qu’il emprunte

L’être collectif lui-même s’est mis à vibrer de joies toutes neuves

Chantant sous l’or sincère de nos vastes prairies

Garde cette main petite et familière qui serre la tienne

C’est une coupe posée hors du temps

Sur une terre d’évidence et sans preuve

Que l’ombre à jamais ignore

 

Barbara Auzou.

8 réflexions sur “L’EPOQUE 2019/34 – « TRANSE-MIGRATION II »


    • commence
      la question cesse de chercher
      La mer porte le frémissement de ta poitrine, la grappe est tendue aux lèvres assoiffées
      L’oiseau voit du haut
      Accordée dis-tu
      ne fermons pas la musique du bal, Ma…
      N-L

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  1. La foisonnante herbe
    Étouffe ces gens
    Ils partagent la paix
    Pour un moment,
    Jusqu’à ce qu’on les menace à nouveau.

    J’aime

  2.  » Les déclinaisons solaires de l’étreinte …..
    cette main petite et familière  » en fait bien partie :
     » Avec l’eau pure des instants volés. L’eau forte des secrets, l’eau calme et simple des jours sans importance. Avec rien à donner mais tout le temps perdu, le courage des heures et les rêves blessés. Pour inventer quelqu’un de l’autre côté du silence; pour l’ombre d’un sourire et la fraîcheur d’un long feuillage, cet arbre de douceur au coeur du monde.  » ( Philippe Delerm )
    c’est bien cet arbre là droit et frémissant de bonheur qui nous est peint là …
    Merci à vous deux pour cette confidence partagée …..

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  3. Oui Jane
    Cet arbre là tient bon dans la fin consacrée. La pollution l’entoure et il souffre mais s’acharne à demeurer par goût sain nourricier
    Le malveillant en tout est aux aguets
    les vignes refusent le saigneur..
    Ta présence avive, purifie et arme, merci Jane je t’embrasse de tout coeur.

    Aimé par 2 personnes

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