
L’ÎLE AUX OISEAUX
De terre chaude comme palmeraie surgit l’instant de vert à saisir
Un hennissement océanique et du bec l’oiseau sort la forme de mer qui porte
Les cuisines du temps ont leurs recettes de l’attente à la nage
Plus le grain de peau glisse, plus le toboggan plonge sa caresse au fond
Du dandinement de croupe du râtelier sort un début de faim tiré du fourrage
La ligne d’arbres sertie la colline à l’ourlet du col ouvert
Déjà le poil a localiser la virole en pensant aux tons d’étal
Oublie l’heure fatale qui pointe l’arrêt du coeur
Donne sans compter
Les enfants s’ébrouent dans un jeu innocent qui filtre le poison des rampants
A leurs cris nouent les tiens comme au mouchoir du couvre-chef cheminot, canne pointée
La route sinue en direction naturiste d’un accès interdit aux voitures, hissons la chemise
Niala-Loisobleu – 16 Juillet 2019
Les émeraudes balaient les nuits chaudes et retendent les draps
A chacun sa chacune
Moi je t’attendrai sous la lune pleine de bras
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Ah quand l’aime rôde…
et surtout les nuits de pleine-lune
je me doigt de dire qu’elle brille aux tiens, Ma…
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Ah c’est que le poisson subtil se plait en grandes marrées, Mon…
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Il rit comme une cascade à la chute sans peau de banane
Une tarte à rin ça m’étouffe…
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Le pont s enfuit a cheval pour lui laisser tt l espace
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Un pont à cheval c’est une rivière de dits amants
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ah oui??
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Oui les amants de vers one
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