BARBARA, TA POESIE
J’ai dit tes pores en mes escales rapprochées
tendant la toile de tous mes ressentis
à leurs pigments rares
j’ai tu mon admiration pour que tu l’entendes au-delà des mots vides
est-il plus d’intelligence où tu les tiens
dans l’image que tes yeux choisissent pour les écrire
pourtant il s’avère que je ne sais pas bien les monter à leur degré indiscutable
quand viendra le jour
demande un dernier clou pour accrocher mon silence sans le sortir de sa chair-de-poule
Niala-Loisobleu – 28 Juin 2019

Alain, ta peinture
Pour quelqu’un qui ne sait dire je dois avouer que tu fais ça avec plus de forces que quiconque…Je ne te dirai pas que le rouge me monte aux joues car j’entends déjà ton rire tonitruant, tu sais celui que tu as quand tu te moques de moi et de la part enfantine de certaines de mes réactions qui refuse de grandir…Alors je te remercie car je n’ai pas ton expérience et si je sais la nécessité impérieuse d’écrire et la joie complète que cela me donne, tu le sais, je ne peux pas compter sur la machine à liker pour me confronter à mes lecteurs…
S’il existe aussi des périodes pour l’écriture celle-ci restera comme celle du pouls et tu sais comment je travaille autour de tes tableaux en fermant les yeux pour aller chercher loin…
En ce qui concerne ta peinture, je t’ai toujours dit mon admiration: Elle fait VIVRE…Je lève les yeux et 85 petits soleils vers me sourient en me prenant la main…
Pourtant
Pourtant
Partout
Des fleurs poussent au filet et au fusain de pièges de papier et les mots peints parcheminent des profils trop épris de pourtours flous
Reprisent
Encore
À la poitrine féroce et lourde la forme et le fond défiant le feu-follet de la peur
Pouvoirs
Pour voir
Aux poumons de peu à la proue poreuse qui répond épouse repousse retient
Respire
Palimpseste de la joue épanchée à l’épaule en aparté pour recoudre le fil fendu des pluies fauves affolées poursuivant promettant persiflant en pure perte et
Permettent
Au pied effaré
la fuite
la refonte
Par la porte
La fenêtre
Ou le ponton
Barbara Auzou.
C’était le tout premier et je n’ai pas oublié que c’est toi qui a peint à partir du poème…
Je t’aime pour cela
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Qui saura les pendules que j’ai éconduites
qui sentira la chaleur de mes doigts revus dans la glace les soirs éteints
Qui aurait la moindre idée de l’imagination géante pour ta taille
qui sait du poil ce que l’on peut occuper les fonds de classe avec mention
qui dans la géographie du corps à l’idée du nom de la capitale de Poplité
la docte ignorance cultive un jardin où le tanin donne à ton cru des mots dont nous ne rougissons pas, les marguerites demeurent blanches
au point que je peins d’un bleu autre
ayant du Nil un soleil qui tire le meilleur du plus inculte terrain
son nom de Vallée arbre à soie
menthe à l’ô
cape d’espérance ses tomates en rugissant
dans le chant d’amour des gibons stationnés au levant
pour cela et affinités sans problèmes je t’aime, Ma…
Merci…
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❤🌺❤
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Merci Luisa…
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🙂
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Grazié Luisa…
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