
ILS DEPLOIENT DANS L’OMBRE DE LEUR LUMIERE
Dans une clarté mesurée
se diaphragme le tracé à suivre
vrais cils de reconnaissance décodés
les globes reposent la canne blanche au rayon luminaires
déployés sur le taire au plus profond de sa fente transe posée
d’obscurs souteneurs de métempsychose déiste laissés en panne sèche
Niala-Loisobleu – 21 Juin 2019
Des mains effacent le jour
D’autres s’en prennent à la nuit
Assis sur un banc mal équarri
J’attends mon tour.
Souffles d’une moustache,
Aciers à renifler,
L’œil noir d’une arquebuse,
Un sourire ébréché.
On entre, on sort, on entre,
La porte est grande ouverte.
Seigneurs du présent, seigneurs du futur,
Seigneurs du passé, seigneurs de l’obscur.
Quand la fenêtre s’ouvrira
Qui en vivra, qui en mourra?
Quand le soleil reviendra
Comprendrai-je que c’est lui?
Rêve, Jules Supervielle
On s’invente des paupières pour les raisons du cœur, Mon
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On s’invente le complément de verbe à la moustache, la barbe, sous la capote des paupières pour un doux voyage aux marrons chauds du regard, qui chasse les yeux noirs d’un froid brûlant. Coeur à coeur, Ma…
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En voilà un qui sut tout des brûlures, Mon,…
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