
RETOUR EN SCENE
Cette mer fermée laissée
le fleuve originel sort
mon père
pincèle, c’est la bonheur
le remorqueur crache à sirène
des lacets la toupie routière dépose son cavalier du manège
Normandie
un transatlantique
Ne me demandez pas d’être surpris de me voir de retour au point de départ
il faut plus de temps pour arriver que pour partir
j’ai les mains prises dans l’entrée
par l’anneau
On y allait regarder du haut des Andelys voir les méandres, déjà j’étais à cheval en passant par Vernon
La catapulte tient la pierre sans la jeter
Normandie autour du monde
paumes plaines me voici aux pores
Un Bonnard dans le judas qui ouvre devant sur la route ma croisade
Les oliviers restent dans l’herbier, croque-note au déroulé de notre route, verte et noire
que le vent en porte pour la défatigue de tes seins par l’éclat de tes yeux branchus.
Niala-Loisobleu – 11 Juin 2019
La paume ouverte avec toutes ses lignes, dis-moi, Mon, mène t-elle toujours au pommier
Le pis au mieux et le beau au lait qu’on boit doucement à la mamelle hospitalière d’une cabane éventrée…?
Si c’est le cas, c’est bonnard, comme diraient les normands de Normandie…
Les rideaux jamais tirés tremblent des deux côtés de la scène…
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Oui la reine être, celui qui domine l’Auge des meuhs et du cheval. Bonnard entièrement. au point que la cabane à les pieds dans l’étrier pour faire naître.
Le gendarme est intenable tu sais, Ma…
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